Dégradations cutanées et ces effets chez une femme

Chez une femme, déjà consciente de dégradations cutanées, ces effets, et l’impuissance nouvelle à les combattre, sont très mal tolérés.

La patiente croit l’embonpoint irréversible. Elle ne sait pas qu’il rétrogradera vraisemblablement de lui-même et sera parfois plus facile à combattre quelques années plus tard.

Par contre, elle sait fort bien qu’à cet âge, la fonte graisseuse, spontanée ou thérapeutique, au lieu d’améliorer les tissus, aggrave encore les dégâts et laisse derrière elle des traces de relâchement, d’irrégularités, de fripés, pires que les précédents et qui s’y ajoutent, au point de craindre parfois davantage un amaigrissement qui ne serait plus réparateur que de l’embonpoint lui-même.

La thérapeutique

La thérapeutique classique

La thérapeutique classique

La thérapeutique classique, à cette époque, se heurte bien à ces inconvénients : un amaigrissement très difficiles à obtenir et qui laisse bien souvent des tissus distendus et flétris.

La thérapeutique hormonale, si elle a une action préventive, moins évidente peut-être que dans d’autres domaines, a surtout deux avantages majeurs.

Elle redonne à l’embonpoint les caractéristiques physiologiques habituelles de la jeunesse, qu’il s’agisse de localisation, de diffusion ou de sensibilité aux traitements et aux régimes.

Si elle a été suffisamment précoce, elle préserve des envahissements et des distensions caractéristiques,

Enfin, dans tous les cas, grâce à la conversation cutanée et sous-cutanée qu’elle assure, elle permet un amaigrissement sans séquelles.

Une femme hormonée de façon adéquate peut à tout âge maigrir sans plus de risques esthétiques qu’une jeune femme.

Obésité

Une obésité de la première enfance crée une quantité anormale de tissus graisseux, donc un terrain obèse.

L’influence hormonale pubertaire, si elle est mal équilibrée, peut avoir des effets exagérés :

  • directs : augmentation anormale de la masse graisseuse
  • indirects (les plus souvent en cause dans les obésités de l’adolescence) :
    • dérèglements métaboliques avec hyperfixation graisseuse ou liquidienne
    • troubles vasculaires : vaso-dilatation, transudats, stases (sang ou lymphe)
    • deformations posturales (conséquences d’un hyperlaxisme musculaire et ligamentaire, sous dépendance directe des hormones femelles) par le biais desquelles se réalisent les trois quarts des localisations graisseuses dites gynoïdes, c’est-à-dire féminines
    • enfin, la faim hormonale, violente, illimité, irrésistibles (surtout vis-à-vis des sucres), sans doute facteur dominant et le plus constant
Obésité de la première enfance

Obésité de la première enfance

Tous sont caractéristiques des hormones féminines et du déségestative. Il se retrouve chaque fois que le même déséquilibre est équilibre classique : hyperfolliculaire-relative-à-une-insuffisance-prosusceptible d’exister : pré-menstruation, grossesse, ménopause chez les femmes.

Les perturbations hormonales de la ménopause, fort semblables, au début, à celle de la puberté, des troubles neuro-végétatifs, psychologiques, métaboliques et liquidiens similaire, augmentés encore par une hyperexcitabilité désordonnée de l’hypothalamus aggravés par une sédentarité le plus souvent presque totale, autant de causes qui, souvent accumulées, font de la ménopause un moment de choix pour l’obésité.

Cette relation privilégiée semble se faire préférentiellement à partir de troubles du métabolisme de sucre.

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